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Writer’s life (120) Donnez moi une pièce vide et j’ai envie de mettre des livres partout. Quand j’ai eu un grand appartement à Paris, disons soixante mètres carrés, ça n’a pas duré longtemps, je vivais tellement au-dessus de mes moyens, j’ai acheté une grande table. Pour la première fois de ma vie, une super grande table, dans un bois sombre, très beau, et je me suis dit : ah, je vais pouvoir inviter des gens à dîner, je vais pouvoir enfin rendre les invitations. Résultat des courses en quatre ans je n’ai jamais invité personne à dîner, et au bout de trois jours la table était envahie d’une grande quantité de livres. C’est le style de vie que j’aime je suppose. Les livres, la porcelaine anglaise, et la pop culture parce que la pop culture est le berceau de mon enfance. Vu la très bonne série de reportages sur le magazine Rolling Stones. J’ai eu une sorte de débat avec Jade pour savoir si les filles étaient plus jolies dans les années 60 ou aujourd’hui. Elle dit les années 60 parce qu’elles étaient moins coincées. J’ai beau lui dire que je connais des filles qui ne sont pas coincées, ça ne l’a pas farouchement convaincue. J’ai dit à Jade qu’elle est paradoxale car elle est coincée dans les années 60. Louise qui fait un burn out des réseaux sociaux. Elle me dit qu’elle est dégoûtée de la réaction de certaines personnes. Ah, pour ça, c’est sans doute égalité entre le virtuel et le réel. J’ajoute : Le problème c’est qu’on est plus souvent confronté à la vanité et l’arrogance de personnes qu’on a croisé quelques fois dans sa vie qu’à l’intelligence et l’émotion qui naissent parfois d’une première rencontre. #writerslife

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