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Writer’s life (50) Remède à tous ces déplacements, ces traversées, ces émotions en dents de signes (littérature oblige) pour l’apparition de La petite sonneuse de cloches en librairie : du thé Pu-erh bien infusé, quand il est bien noir, proche du café. Keith Richards sur la musique dans les années 60 : «It was a business where the only time people laughed was when they’d screwed someone else over. » Au Caf Ferret, une lectrice qui, en se faisant dédicacer un exemplaire de mon nouveau roman, me regarde dans les yeux et me dit : « Je vais vous porter chance. J’ai toujours eu beaucoup de chance et je vais vous en donner ». J’ai dit que je penserai à elle dans ces périlleuses prochaines semaines.. À Chanceaux hier, une fille qui fait le tour des écrivains et leur délivre sa bonne parole (en astrologie). Elle demande la date de naissance et commence son topo (elle a fait le coup aussi à Loulou et Erwan). Me concernant, elle commence par me dire que j’aime le relationnel et la tribu. Olà, fa...